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Helmut Lotti chante pour la nouvelle campagne "BOB"

« Il ne nous faut qu’un seul BOB », avec ce titre spécialement conçu pour l’occasion, Helmut Lotti relaiera cet hiver le message de la campagne BOB sur les ondes radio et les réseaux sociaux. Les conducteurs belges comptent encore trop souvent le nombre de verres qu’ils peuvent encore boire. Malgré la tendance à la baisse du nombre de tests positifs au cours des dernières campagnes, 1 conducteur sur 4 indique en effet avoir repris le volant, au cours du dernier mois, après avoir probablement trop bu. Jusqu’à la fin du mois de janvier, les contrôles seront renforcés sur les routes.

La carrière internationale de Helmut Lotti a démarré en fanfare avec « Helmut Goes Classic ». Cet album est sorti fin 1995, juste quelques semaines avant la toute première campagne BOB. 28 ans plus tard, c’est un Helmut très enthousiaste et convaincu qui endosse le rôle d’ambassadeur BOB. Avec sa chanson rock « Il ne nous faut qu’un seul BOB » spécialement écrite pour l’occasion, il encourage les conducteurs à ne rien boire du tout quand ils prennent le volant. La chanson fait également l’objet d’un clip vidéo et le refrain sera utilisé pour un spot radio diffusé sur Nostalgie.

« Si je sors et que j'ai absolument envie de boire, je m'assure toujours que quelqu'un me ramène chez moi. Je trouve que l'alcool et la conduite ne vont vraiment pas ensemble. C’est pour cela que j’ai souhaité soutenir la campagne BOB. Et d’ailleurs, je suis heureux d'être moi-même Bob quand c’est nécessaire. Je fais alors plaisir à d'autres personnes ! »


12 accidents par jour dus à l’alcool au volant
Au cours des 9 premiers mois de l’année, on a déploré 3027 accidents dus à l’alcool au volant, soit 12 par jour ou 1 toutes les deux heures. Ce nombre est légèrement inférieur à celui enregistré l’année dernière à la même période. En 2022, on a recensé au total 4091 accidents dans lesquels un conducteur qui avait bu était impliqué.

L’an dernier, 7% des accidents corporels impliquaient un conducteur sous l’influence de l’alcool. Il y a 10 ans, ce nombre atteignait encore 10%. Le pourcentage de conducteurs testés après un accident a également augmenté au cours de cette période puisqu’il est passé de 59 à 82%. Le principe selon lequel quiconque est impliqué dans un accident doit souffler est donc toujours une réalité sur le terrain.

Le conducteur belge continue trop souvent de compter ses consommations
Dans notre pays, la limite d’alcool légale est fixée à 0,5 ‰. Pour bon nombre de personnes, il est difficile d'évaluer le nombre de verres que l'on peut boire avant d'atteindre cette limite.
Par ailleurs, l’assimilation de l’alcool diffère grandement d’une personne à une autre et repose sur plein de facteurs tels que la fatigue et le stress.
 
Pourtant, trop de conducteurs belges font des spéculations et comptent s’ils sont en dessous ou non du seuil autorisé. Selon une enquête menée dans 22 pays européens (ESRA), 23% des conducteurs belges ont conduit une voiture le mois dernier avec une alcoolémie supérieure à la limite autorisée. Seul le Luxembourg nous devance au classement des pires élèves européens en la matière.
 
Campagne « Quand on boit, on ne conduit pas »
Il est toujours préférable de ne pas boire quand on prend le volant, non seulement pour se protéger soi-même, mais aussi pour protéger les autres usagers. Le message "Quand on boit, on ne conduit pas" est au centre de la nouvelle affiche de cette campagne de fin d'année. Ce message sera encore renforcé en Wallonie et en Flandre sur les panneaux à message variable sur les autoroutes.

Source: CP


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