Une étude, dénommée « Share - 50 + en Europe » sera menée dans le courant des mois de juin, juillet et aout dans la commune de Montigny-le-Tilleul par le service "ESPRIst - Études et évaluations, institut de sondage et centre de recherche de l’Université de Liège".
Un·e enquêteur·trice est mandaté·e et formé·e pour cette mission. Cette personne est liée par une convention de collaboration comprenant entre autres une clause de confidentialité.
Chaque zone de police et administration communale reprise dans l'étude est avertie par un courrier similaire, afin de rassurer ou d’informer davantage d’éventuels citoyens inquiets. Compte tenu de la situation sanitaire actuelle, aucun contact en face-à-face ne sera autorisé pour la prise de contact et la passation de l'entretien.
« Tous les contacts que nos collaborateurs prendront avec nos éventuels répondants se feront par téléphone, e-mail ou courrier postal. » précise la commune.
La collecte des données a lieu de juin 2021 à aout 2021.
La participation des répondants est volontaire, anonyme et confidentielle.
L'étude est financée par la Politique scientifique fédérale(Belspo) ainsi que la Fédération Wallonie-Bruxelles. Vous pourrez trouver les informations relatives à ce projet sur Internet, via les lien suivant:
Une enquête internationale !
Cette enquête est d'ampleur internationale (28 pays participants). Au niveau de la Belgique, différents partenaires sont impliqués :
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À l'Université de Liège, le service "ESPRIst - Études et évaluations" ainsi que le "Centre de Recherche en Economie Publique et de la Population (CREPP)" ;
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À l'Université d'Anvers : le Centre "Sociaal Beleid Herman Deleeck" ainsi que le "Centrum voor Longitudinaal en Levensloop Onderzoek (CELLO)".
« Concernant les personnes interrogées, notre échantillon ne sera, pour cette édition, composé que de ménages ayant déjà participé une fois à cette étude. Aucun ménage étranger au projet ne sera contacté. Aucun contact en face-à-face ne sera autorisé durant ce terrain, le respect le plus strict de distanciation physique et des normes sanitaires en vigueur étant notre priorité. » est-il encore précisé.