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Pourquoi la nomination de Lucie Demaret à la vice-présidence de l'ISSPC fait débat

Pourquoi la nomination de Lucie Demaret à la vice-présidence de l'ISSPC fait débat

Lucie Demaret est vice-présidente du conseil d’administration de l’ISPPC depuis le moi de mai, une nouvelle qui n’a visiblement ému personne, d’autant qu’elle est administratrice de l’intercommunale depuis de nombreuses années maintenant. Pourtant, dans le landerneau politique et médiatico-médiatique certains s’interrogent. 

Pourquoi la nomination de cette administratrice de l'ISPPC au poste de vice-présidente pose-t-elle problème ? parce que Lucie Demaret est MR et proche du président Georges-Louis Bouchez. Certains se demandent si le bouillonnant chef de parti, ne serait pas en train de placer ses proches. 

En effet, après Géraldine Demaret, nommée au conseil d’administration de la loterie nationale, sa soeur Lucie Demaret qui est désormais à l’ISPPC, et accessoirement la compagne de Georges-Louis Bouchez.

Réaction à l’ISPPC

Pour Mohamed Fekrioui, administrateur au sein de l’ISPPC, il n’y a dans cette nomination rien d’anormal. 

« Philippe Knaepen de Pont-à-Celles, voulait quitter son poste de vice-président, deux personnes pouvaient le remplacer, Jean-Louis Tuttolomondo ou Lucie Demaret. L’emploi du temps de monsieur Tuttolomondo ne lui permettait pas d’assumer cette charge. Lucie Demaret qui est aussi conseillère communale à Ham-sur-Heure-Nalinnes, a accepté de relever le challenge. C’est son parti qui l’a proposée, je n’ai pas a interférer dans ce choix, mais pour moi je n’y vois aucun problème éthique ou politique. »

Le conseiller communal C+ de la ville de Charleroi nous dit encore qu’il aurait été choqué si le parti (MR) avait parachuté un parfait inconnu. Ce n’est pas le cas ! 

L’ISPPC a déjà connu suffisamment de déboires politiques que pour retenir les leçons du passé. On se souviendra de la machine à purée, « empruntée » par son directeur médical ou de la tentative bien plus scabreuse de nomination de Thomas Salden, le demi-frère d’Olivier Chastel à un poste de direction créé sur mesure et cassée par la tutelle.


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