Thuin : Une tonne de vêtements pour les victimes de violences conjugales
Thuin : Une tonne de vêtements pour les victimes de violences conjugales
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Le raton Laveur est une entreprise d'économie sociale qui propose un service de blanchisserie, mais aussi du repassage, du nettoyage à sec et de la petite couture. Elle dispose en outre d'un salon lavoir. Cette entreprise offre également à son personnel une formation et un accompagnement afin qu'il puisse s’épanouir professionnellement et socialement. Régulièrement, la société propose de relever des défis, le dernier en date récolter une tonne de vêtements pour les victimes de violences conjugales.
Depuis plusieurs semaines, l'équipe de la petite entreprise d'économie sociale s'entraine en équipe avec ses partenaires et certains clients deux à trois fois par semaine pour relever le défi de courir 5 kms d'ici octobre et participer à une course solidaire.
Mais le Raton Laveur, n'est pas avare de défi, Le personnel a donc décidé de soutenir les personnes victimes de violence conjugales. Des femmes, la plupart du temps qui doivent fuir leur maison du jour au lendemain pour assurer leur survie et qui se retrouvent sans rien.
Pour les aider, le Raton Laveur récolte des vieilles couettes, vieux draps, vieilles couvertures,... propres et fonctionnelles. le personnel se chargera de remettre tous les dons directement au service d'aide aux victimes de Charleroi.
Objectif 1 tonne de vêtements, couvertures, essuies etc.
Concrètement, comment cela se passe-t-il ? Si vous souhaitez faire un don, vous pouvez déposer vos colis
-du mardi au vendredi de 8h à 12h30 et de 13 à 17h;
-et le samedi de 8h30 à 12h30
Les dons seront acceptés jusqu'au samedi 7 octobre
Chaque fois que vous déposerez des draps, des couettes, des couvertures, des oreillers... propres dont vous n'avez plus besoin, ils seront transmis la semaine suivante directement au service d'aide aux victimes de Charleroi.
Ces derniers se chargeront de les transmettre aux personnes victimes de violences conjugales.
Les assistantes sociales qui travaillent au service d'aide aux victimes sont à court, elles sont déjà vidé leurs propres armoires et sont aux abois.
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