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Le bataillon carré de la Saint Hubert de Loverval, c’est du grand spectacle!

La 48ème édition de la Saint Hubert de Loverval a été, une fois encore, un grand succès. On a pu y admirer plus de six cents marcheurs. Et l’un des touts grands moments de cette marche, c’est son bataillon carré qui précède la rentrée. Nous y avons assisté.

Les jeunes en tête de cortège

A la Saint Hubert de Loverval, c’est la jeune marche qui ouvre le cortège l’après-midi pour remonter la rue de la Jonquière vers la prairie qui accueille l’un des grands moments de la marche: le bataillon carré.

« Nous sommes bien représentés en enfants puisque cette année, on compte 111 enfants marcheurs, nous a déclaré Catherine Collart, la responsable de la jeune marche. Les enfants adorent participer à ce genre de festivités. Donc je pense qu’on n’a pas de soucis à se faire pour l’avenir. »

Le bataillon carré, c’est un défilé plein de musique et de couleurs

La Saint Hubert a 48 ans. Les marcheurs ont repris l’ancienne procession escortée de soldats en armes. Et les marcheurs viennent de l’entité, mais aussi de la région. Et le résultat est impressionnant. Toutes les compagnies défilent sur le préparé, en ordre de parade. En musique et au pas. Dans un long cortège qui regroupe plus de six cents marcheurs. C’est l’autre grand événement de la marche, avec la rentrée.

« En général, il y a énormément de public, explique Marc Brunée, l'adjudant des tireurs. Et on a la chance d’avoir un énorme bataillon carré qui est, à mon avis, l’un des plus beaux de la région parce qu’il est tout plat et magnifique pour les spectateurs. »

Et on a fait parler la poudre

Et le bataillon carré intègre forcément les décharges. Sous toutes leurs formes. En groupe, en feu roulant, ou au son du canon. Il faut dire que les tirs sont une des choses qui permettent de recruter dans les pelotons. Comme celui des gendarmes impériaux.

« On va essayer, pour les prochaines années, de remettre au goût du jour le tir au pistolet que les gendarmes faisant auparavant, ajoute Bernard Nisot, lofficier des Gendarmes, pour essayer d’attirer un maximum de jeunes à rejoindre notre peloton. »

Pour terminer le bataillon carré, on charge

Et l’apothéose, c’est la remontée en bataille. Sur trois rangs, les marcheurs avancent en ligne et en tirant vers un hypothétique ennemie. Presque une reconstruction de bataille d’époque. Ensuite, après une pause bien méritée, ils n’auront plus qu’à effectuer la rentrée solennelle.


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