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Gosselies : l'Institut de la Providence (GPH) doit aussi faire face à la pénurie d'enseignants

La pénurie d'enseignants est de plus en plus problématique dans de nombreuses écoles. Lors de la dernière rentrée de septembre, la chambre de la pénurie de la Fédération Wallonie-Bruxelles a reçu près de 300 demandes de dérogation de la part des directions, pour pouvoir engager des professeurs au titre non listé. Résultats, des professeurs se retrouvent parfois dans des cours qui ne sont pas en lien avec leur formation, avec un barème salarial minimum. Exemple à l'Institut de la Providence à Gosselies.

A la rentrée de septembre dernier, près un tiers des fonctions enseignantes étaient en pénurie dans notre pays. Et en Fédération Wallonie-Bruxelles, ce manque criant de professeurs est toujours d’actualité. Lorsque certains d’entre-eux tombent malades, les directions ont des difficultés à les remplacer.

Certains cours sont particulièrement visés par la pénurie

En fédération Wallonie-Bruxelles, dans l’enseignement fondamental, on manque globalement d’instituteurs maternels et primaires. Mais les cours de Philosophie, religion, et les langues, sont particulièrement touchés par la pénurie.

Dans le secondaire, une pénurie sévère est constatée pour les cours de langues, mathématiques, sciences humaines et sociales, les arts graphiques et les métiers techniques.

 


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