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La skippeuse carolo Marie-Amélie Lenaerts en mode JO 2024 !

Marie-Amélie Lenaerts est une skippeuse belge et carolo surtout. En 2019, elle est devenue la première belge à avoir réussi la traversée de l’océan Atlatntique en participant à la Mini Transat. Une course solitaire et sans assistance qu’elle a réussi à boucler et qui lui a valu l’honneur de recevoir la même année un Beffroi de Cristal. 

Sur la plateau de notre journal télévisé en janvier dernier, elle était notre invitée pour revenir sur son exploit et enfin d’interview, un de nos journalistes lui a demandé si elle avait des projets pour le futur, la skippeuse carolo était restée assez évasive. 

Depuis, sept mois ont passé et c’est du côté de Marseille que nous avons retrouvé la Gosselienne. Et sur le port marseillais qu'elle s’entraîne avec l’anversois Jonas Gerckens et son équipe en vue du championnat d’Europe de course au large en équipage qui aura lieu du 21 au 23 août prochain dans la baie phocéenne. 

« J’ai intégré l’équipe de Jonas qui a envie de qualifier la Belgique pour les Jeux Olympiques de 2024 (qui auront lieu en France). La course large sera l’une des nouvelles disciplines pour ces JO et c’est en double mixte. La partenaire de Jonas n’a pas encore été sélectionnée donc on s’entraîne et on verra d’ici quelques années ce qu’il en sortira de tous ces entraînements », explique la skippeuse carolo

Red Dolphins 

C’est le nom qui a été donné à cette toute nouvelle équipe belge. En associant ces deux mots, on est clairement dans cette mouvance belge qui est un peu l’identité de la Belgique lorsqu’elle participe à des compétitions internationales comme ce sera le cas tout prochainement.

« Il va y avoir la première course de la saison à Marseille c’est un peu un avant-goût et l’idée d’être sur place aussi est d’apprendre à connaître la plan d’eau et les effets spécifiques, explique Marie-Amélie." 

Le confinement a chamboulé tout le programme prévu et pour pallier à tout cela, elle s’est entraînée toute seule et les partenaires d’entraînement se faisaient rare.

« Le fait de pouvoir se frotter à d’autres bateaux et de se retrouver en flotte, ça fait du bien. Nous sommes un peu tous excités par cette semaine. »

D’ici les JO, Marie-Amélie a moins de trois ans et demi pour faire partie de l’équipe. Elle n’écarte cependant pas de faire à nouveau des courses en solitaire comme elle l’a fait pour la Mini Transat, même si elle avoue qu’elle n’exclut pas non plus de faire des longues courses en double, par exemple. Cet Euro en large va lui permettre de retrouver des sensations et de pouvoir faire un premier bilan en se mesurant aux autres équipes engagées.   

 

 

 

 


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